Description
CHRIS COHEN ( US – Captured Tracks Records)
Le multi-instrumentiste indépendant Chris Cohen, ancien membre de Deerhoff, producteur des plus éminents représentants de la musique indé est de retour avec un troisième album éponyme. Lancé en solo depuis 2012 avec un premier album prometteur « Overgrown Path » suivi d’un deuxième album en 2016 « As if apart », le californien est maintenant bien installé parmi les songwriters les plus talentueux du moment.
Son premier single Edit Out, sonne comme une ballade pop jazz chaleureuse qui convoque les influences de certains de ses contemporains, mais surtout les fantômes de Nick Drake ou Tim Buckley. Pour la première fois dans le cadre de sa carrière solo, il a ouvert les portes de son studio à des collaborateurs : le pianiste Jay Israelson et la saxophoniste Kasey Knudsen (Tune Yards).
https://capturedtracks.com/artist/chris-cohen/
BRYAN’S MAGIC TEARS ( FR – Born Bad Records, XVIII records)
Vous vous souvenez de ces groupes américains bouffés par les mites signés sur des labels injoignables du Midwest qui balançaient, au milieu des années 1990, des refrains à faire pâlir les Smashing Pumpkins avec le son le plus pourri de l’histoire de l’électricité ? Non, peut-être pas. Eh bien sachez que Bryan’s Magic Tears aurait très bien pu être l’un d’entre eux. Ce projet, lancé il y a 4 ans par Benjamin Dupont (Dame Blanche) et dans lequel on croise des membres et ex-membres de La Secte Du Futur et Marietta, a en effet tout pour occuper ce créneau, plus tellement usité ces temps-ci, d’ailleurs : mélodies toxiques, guitares alternant fouet et caresse, son fantômatique et nom alambiqué faisant référence à un obscur dealer d’acide parisien.
https://bryanmagictears.bandcamp.com/album/4-am
RRAOUHHH!! (BE – Rockerill Records + coprod trop longue à lister)
est né dans la Ville Brussel par la réunion de Samantha Chope et Mme Racaille, juillet 2014.Leur premier cabriolet(concert) a été censé être dans le parti(la fête) d’un chanteur de charme, mais ils ne jouaient vraiment comme la façon(le chemin) de Sinatra, pas beaucoup comme Sacha Distel. Ils se sont sentis beaucoup plus dans un sentiment fâché de croonisme, de lointain, mais plus impliqué sur le style de Pino D’angio, comme leur première chanson appelée « La Glace à L’italienne ». Plus tard ils ont éclaté l’étape se doublant(se surnommant) industriel se prépare psychologiquement l’action de cannelure, forte et fière.
Ils jouent essentiellement le Synthé, la Boîte de Rythme, des Filtres et la Voix.
https://rraouhhh.bandcamp.com/track/la-glace-litalienne
Une belle coproduction Le PRINCE HARRY / JAUNEORANGE, dans le cadre du dispositif « les extras » avec le soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles et Court-Circuit.
7 €